Organiser les services à la petite enfance.

   Il y a quatre modes de garde d’enfants proposés actuellement sur Ploërmel : Une halte-garderie; une maison de la petite enfance toujours pleine ; une crèche inter-entreprises ouverte aux salariés des sociétés locales et des assistantes maternelles qui sont le mode de garde le plus important.

   Il n’existe ni solutions pour les parents qui travaillent de nuit, ni modes de garde pour enfants de plus de 6 ans et préadolescents.

   Compte tenu de l’accroissement de la population, Béatrice Le Marre et son équipe veulent favoriser des garderies innovantes qui tiendront compte des horaires de travail des parents, qui encourageront la solidarité de proximité en favorisant la garde de dépannage type « SOS Grand’mères » et qui informeront régulièrement sur les horaires et la disponibilité d’assistantes maternelles agréées.

Maryse Besnard

Gardes adaptées pour les enfants de 0 à 3 ans.

Les enfants ont un développement individuel qui nécessite d’adapter l’âge d’entrée à l’école de chacun d’entre eux.

A l’heure actuelle le choix d’entrée à l’école, à 2 ans, n’est pas toujours le choix le plus adapté pour les enfants et ce malgré les efforts des enseignants du public, comme du privé pour favoriser l’intégration des plus petits. La journée est longue surtout si les enfants doivent rester à la garderie du matin et/ou du soir…

Les enfants y rencontrent les pathologies courantes en particulier ORL et certains accumulent les infections au détriment de leur santé.

L’équipe « Ploërmel avec passion » veut proposer aux parents des modes de garde des petits qui soient adaptés à leur budget et à leurs horaires afin qu’un enfant qui n’est pas prêt, qui est fragile ou qui est ponctuellement malade ne soit pas contraint à être scolarisé.

Véronique Lenoir-Chansou, Commission Santé

Une vie sociale ouverte et chaleureuse.

Nous nous engageons pour une vie sociale ouverte et chaleureuse. Pour nos enfants, avec :

• des modes de garde diversifiés, adaptés aux horaires décalés.
• des solutions de garde d’urgence.
• un lieu d’accueil parents-enfants.

Pour les personnes handicapées, avec :

• une accessibilité véritable de la ville.
• un respect de la loi sur l’emploi des travailleurs handicapés.
• le développement d’un lieu de vie pour pour les personnes non autonomes.

Pour nos anciens, avec :

• l’implantation de petites unités de vie.
• la lutte contre l’isolement en favorisant l’inter- générationnel.
• l’accès aux services dans les campagnes (bibliobus, Tif-bus, Transports…).
• une structure d’accueil temporaire.

Pour les personnes en difficulté, avec :

• une accessibilité au logement.
• le renforcement de l’action des associations.
• l’intégration à la vie sociale en rendant la culture accessible.
• un travail sur la citoyenneté.
• la création d’un « café social ».

Fabienne Boudier, Commission Affaires Sociales.